The boundaries of language

Qu’on soit francophone ou anglophone québecois, on se doit d’écouter “Québecois de Souche”, des Cowboys Fringants (Oui, le titre du vidéo en tant que tel est plein de fautes, et je m’en excuse de la part de l’épais qui a posté ça tout croche.)

Now, don’t be scared of the title, or of the band’s name, no one’s going to have their existence threatened. Make sure to listen to the words, and if the Cowboys’ folksy neo-rock riddims make it too hard for you to follow along, lyrics are here

D’un point de vue lexical, entendons-nous que tous les termes employés sont parfaitement acceptés, et comprises dans le registre de la langue franglaise. In other words, le monde y parlent généralement plus ou moins de même.

Il faut y réfléchir, quoi. C’est comme si à force de quelques siècles de communication, le français a genre évolué, acquérant des nouveaux termes afin de faciliter la communication et la cohabitation. Sans pour autant exploser ou disparaître.

The versa’s vice is that, if you’re an English speaker, you’d have to be pretty dim not to be able to communicate on some level in French. About a quarter of the words are straight English, and a further fifth simply French pronunciation of English words. Just a little something to ponder, alors qu’ on voit de la haine comme lors des dernières élections, et qu’on se met à parler dans certains cercles médiatiques comme si on est dans des camps rangés. Jusqu’où vont les différences?

This article was quite difficult to write, you know. Word’s spellcheck was going crazy, and changing from accents to non-accents a constantly-reappearing challenge. Nevertheless, I learned something, about the boundaries of language as a talking point and factor in the public discourse vis-à-vis the issues that concern and unite and divide and incite us.

(That last paragraph is from a dialect of English known as Classical B.S.)

MANDATORY FRENCH TRANSLATION OF CONCLUDING PARAGRAPH[1]

Cet article fut assez difficile à écrire, vous savez. La fonction grammaticale du logiciel Word péta les plombs, et devoir aller d’accents a pas-d ’-accents fut un défi qui apparut constamment. Néanmoins, j’ai appris quelque chose, sur les limites de la langue en tant que point de discussion et facteur dans le discours public vis-à-vis les issues qui nous concernent et nous divise et nous incitent.

(Le paragraphe ci-dessus provient d’un dialecte français nommé le Nymportequoix)


[1] Pour plus d’informations concernant la susceptibilité du contenu électronique de désignation ‘blog’ aux lois et modalités de la Charte de La Langue Française tels que déterminés par la dernière soumission de l’Assemblée, veuillez vous addresser aux offices du Bureau de la Commission sur la Protection du Cyber-Français dans l’Espace Virtuel Québecois (La BCPC-Fdl’EVQ), organisme spécialisé de la Régie Ministérielle du Gouvernement du Québec. On a des bureaux un peu partout.